« À 18h16, juste avant le compte à rebours du palmarès, une jeune femme débarque sur la scène avec un panneau « Foie gras = organe malade d'un oiseau torturé »(…) Le service d'ordre (…) l'emmène en coulisse. Le présentateur Vincent Ferniot aura ce petit mot : "Ce qui est triste, c'est que cette jeune femme ne connaîtra pas les plaisirs du foie gras." »
Cela a le mérite de la franchise : la réjouissance des papilles suffit aux bons vivants pour justifier que l’on fasse souffrir des oies et des canards gavés. Carpe diem !
27 janvier 2011
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